Publié le : Dernière Mise à jour : 31.08.2017Lecture : 10 min.
Le Conseil supérieur du travail social entend, dans le nouveau mouvement de décentralisation des politiques sociales, veiller à la cohérence nationale des formations sociales et accentuer sa vigilance sur le respect des pratiques professionnelles. Comment pourra-t-il assumer ce rôle alors qu'il manque déjà de moyens et de pouvoir politique ? La journée qu'il organise le 14 février au Sénat sera l'occasion d'amorcer la réflexion.
Le Conseil supérieur du travail social (CSTS), qui fêtait l'année dernière ses 20 ans, a décidé de sortir de sa coquille. L'assemblée consultative organise le 14 février, au Sénat, une journée de réflexion sur « les enjeux du travail social aujourd'hui », qui sera ouverte par Nelly Olin, sa présidente en qualité de ministre déléguée à l'intégration, à l'égalité des chances et à la lutte contre l'exclusion, et close par Jean-Jacques Trégoat, directeur général de l'action sociale. Cet événement - une première - rassemblera des représentants de l'Etat et des élus locaux autour des principales questions qui taraudent les professionnels de l'action sociale : la reconnaissance de leurs missions, leur complémentarité…
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