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Le risque de chômage s'est aggravé pour les jeunes, confirme le Céreq

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Entre 2001 et 2004, le chômage des jeunes s'est aggravé quel que soit leur niveau de sortie du système éducatif. Mais la situation des non-diplômés, déjà nettement moins bonne que celle des diplômés, s'est encore plus dégradée. C'est l'une des observations tirées de la grande enquête trisannuelle du Centre d'études et de recherche sur les qualifications (Céreq) sur l'insertion des jeunes (1). Elle porte cette fois sur la « génération 2001 » -10 000 jeunes représentatifs des 762 000 élèves et étudiants qui ont arrêté leurs études cette année-là - et son rapport à l'emploi trois ans après. Une étude d'autant plus intéressante qu'elle peut être comparée aux enquêtes antérieures sur les « générations » 92 et 98 (2).Fait nouveau par rapport aux précédentes cohortes où le nombre de demandeurs d'emploi diminuait de moitié au cours des trois premières années de la vie active : la génération 2001, pourtant partie d'une situation moins mauvaise, a vu son parcours collectif stagner la deuxième année, puis se dégrader la troisième. Si bien qu'avec un taux de chômage de 22,6 % en 2001, elle en est encore à 16,6 % en 2004. Autre spécificité de la génération 2001 : au bout de trois ans, le chômage…
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