Pour un partenariat entre le sanitaire, le social et les familles en matière de santé mentale
Article réservé aux abonnés
Publié le : Dernière Mise à jour : 03.08.2017Lecture : 1 min.
A la veille de la présentation, le 4 fé-vrier, par Philippe Douste-Blazy, des grandes orientations du plan relatif à la santé mentale, l'Union nationale des amis et familles de malades psychiques (Unafam) (1) a réitéré ses revendications. Alors que « l'intra-hospitalier reste toujours survalorisé », l'association rappelle que 90% des malades vivent dans la cité. Les innovations qu'elle attend portent donc surtout sur le développement des coopérations entre le système de soins, le dispositif d'accompagnement social et les aidants familiaux.Soulignant l'importance de la proximité des soins, l'Unafam insiste aussi sur leur continuité après la sortie de l'hôpital, alors que, souvent, le malade n'est pas demandeur. Ce qui suppose une unicité de prise en charge, une permanence dans le suivi et l'accompagnement, une préoccupation constante des périodes de transition, le développement d'une « fonction accueil » comme « un objectif en soi », des visites au domicile...Le travail en partenariat avec les médecins de ville et les services sociaux - qui pourraient bénéficier de formations communes - lui paraît essentiel, tant en matière de prévention que d'accompagnement. L'Unafam insiste notamment…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques