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Le gouvernement redécouvre les vertus de l'éducation à la nutrition

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Fondé sur la formation des bénévoles de l'aide alimentaire et sponsorisé par des entreprises alimentaires, le plan alimentation et insertion, lancé en 2003 par Dominique Versini, avait suscité de vives réactions parmi les acteurs de l'action sociale. La nouvelle édition, que Nelly Olin devait présenter le 27 janvier, reprend la même philosophie. Et s'expose aux mêmes critiques de fond.
Les bonnes intentions font-elles toujours les bons programmes ? S'il est difficile de ne pas adhérer à toute action visant à aider les populations démunies à bien se nourrir - de nombreux acteurs de terrain en ont compris l'intérêt depuis longtemps -, on peut s'interroger sur la démarche gouvernementale. Le 27 janvier, Nelly Olin, ministre déléguée à l'intégration, à l'égalité des chances et à la lutte contre l'exclusion, devait, en effet, relancer le plan alimentation et insertion (PAI), présenté le 16 septembre 2003 par Dominique Versini, alors secrétaire d'Etat à la lutte contre la précarité et l'exclusion (1). Ce programme, qui repose essentiellement sur la formation de bénévoles en partenariat avec des industriels, est destiné à prévenir les carences…
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