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Une « maison accueillante » pour rompre l'isolement

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En misant sur le partenariat et la pugnacité de son assistante sociale, l'association Ikambéré accompagne les femmes originaires d'Afrique subsaharienne touchées par le VIH. Une mission difficile puisque le sida accroît la vulnérabilité sociale de ces publics.
Au nord de Paris, dans un immeuble d'apparence moderne, à deux pas d'un impressionnant nœud autoroutier et le long d'une départementale à fort trafic, a élu domicile l'association Ikambéré (1), nom qui signifie, dans une langue du Rwanda, « La maison accueillante ». Une fois le seuil franchi, la maison porte bien son nom : les murs sont chatoyants, des rires fusent, des femmes vont et viennent. Au milieu d'entre elles, une petite fille s'aventure dans une zone réservée au personnel. Elle est rattrapée par la comptable qui l'embrasse avant de la rendre à sa maman.Dans une grande pièce claire, remplie de canapés et de tables basses, jouxtant une cuisine, cinq ou six femmes sont assises confortablement et conversent. Certaines déjeunent. De nombreux points communs les rapprochent : à 95 %originaires d'Afrique subsaharienne, elles sont toutes séropositives. Ces caractéristiques sont…
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