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« Une autorisation d'avorter plus qu'un droit »

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Avec le Mouvement français pour le planning familial et la Coordination des associations pour le droit à l'avortement et à la contraception (CADAC), l'Association nationale des centres d'interruption de grossesse et de contraception (1) appelle à manifester, le 15 janvier, pour marquer les 30 ans de la loi Veil. Sa vice-présidente, Marie-Laure Brival, gynécologue obstétricienne, en explique les motifs.
Dans quel état d'esprit fêtez-vous l'anniversaire de la loi sur l'interruption volontaire de grossesse du 17 janvier 1975 ?Malgré ses aspects restrictifs, cette loi a été une conquête sociale considérable, donnant aux femmes le droit de disposer de leur corps, donc de leur vie, en choisissant d'avoir ou non des enfants. C'est aussi une grande avancée en termes de santé publique, qui a permis de mettre fin à une immense hypocrisie en même temps qu'aux complications et aux drames liés aux avortements clandestins. Aujourd'hui, l'avortement est un acte médical à très bas risque quand il est correctement effectué.Mais cet anniversaire est aussi l'occasion de dire que des freins subsistent et que ce droit…
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