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Sida : les associations dénoncent les obstacles aux soins et à la prévention

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Si la plupart des associations se réjouissent de voir la lutte contre le sida proclamée « grande cause nationale » en 2005 (voir ce numéro), elles espèrent que la mobilisation des pouvoirs publics ne s'en tiendra pas là.Pour Aides, il est clair qu'il faut d'abord « changer d'échelle dans la prévention ». De l'avis général, il faut aussi que les actions soient ciblées et adaptées aux populations les plus vulnérables parmi lesquelles l'épidémie continue de progresser (1). « Le sida est la dernière violence faite aux femmes », dénonce le Collectif national pour les droits des femmes. Pour lui comme pour le Dr Peter Biot, directeur exécutif d'Onusida, il faut désormais « s'attaquer aux inégalités entre les sexes pour avoir une chance d'inverser le cours de l'épidémie » (2).Les migrants, et particulièrement les migrantes, comptent aussi parmi les catégories à risques. Or, rappelle Médecins du Monde, les entraves mises à l'accès à l'aide médicale de l'Etat (AME), notamment l'obligation faite depuis janvier 2004 de prouver trois mois de résidence sur le territoire, retarde ou interrompt des traitements pourtant urgents. Une lettre ouverte de l'Observatoire du droit à la santé des étrangers,…
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