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Le non-droit persiste dans la zone d'attente de Roissy, dénonce l'ANAFE

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Après six mois de présence permanente dans la zone d'attente de l'aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle, conformément à la convention signée avec le ministère de l'Intérieur en mars dernier (1) - et qui devrait être reconduite pour une période de un an -, l'Association nationale d'assistance aux frontières pour les étrangers (ANAFE) dresse de nouveau un constat sévère (2). Ses observations reflètent « les tendances nouvelles induites tant par les modifications législatives de la fin 2003 (réformes des lois sur l'asile et sur l'entrée et le séjour des étrangers) que par l'influence, dans la pratique nationale, de la politique mise en œuvre par l'Union européenne en matière de maîtrise des flux migratoires ». Evolution qui se traduit par « une politique qui semble toute orientée vers un objectif sécuritaire et de contrôle des frontières, au détriment du respect des droits de la personne, notamment le droit d'asile ».L'association, qui n'a eu un accès libre qu'au lieu d'hébergement de la zone d'attente (ZAPI 3), a reçu plus de 600 personnes et est intervenue pour près du quart d'entre elles. Les étrangers, note-t-elle, ont globalement moins de difficultés qu'avant à faire enregistrer…
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