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Danger pour la formation des contrats aidés ?

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Le caractère obligatoire de la formation des bénéficiaires des contrats d'avenir a été introduit in extremis dans le projet de loi Borloo, en cours d'examen à l'Assemblée nationale. Mais, s'inquiètent les fonds locaux emploi solidarité (FLES), le financement et l'ingénierie de ces formations sont loin d'être assurés.Depuis 1991, les FLES gèrent, à la demande de l'Etat, des fonds publics pour financer la formation des bénéficiaires des contrats aidés. Ces fonds représentaient 8 millions d'euros en 2003, dont 6,4 millions octroyés par l'Etat, le reste provenant d'autres sources mutualisées. Or « l'enveloppe de l'Etat n'existe plus, elle n'est plus budgétée, indique Christian Raingeval, président du Comité national de coordination et d'appui (CNCA) des FLES (1). La compétence de la formation de ce public est confiée aux collectivités locales dans le cadre de la loi sur les responsabilités locales, sans les transferts de financement nécessaires. On est dans la nébuleuse totale :les régions et les départements vont se renvoyer la balle. » La mission des FLES, qui réalisent également l'ingénierie des formations et des analyses de besoins, n'apparaît même pas dans le projet de loi. Le sénateur…
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