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Action auprès des jeunes en difficulté : la « municipalisation » en question

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Jean-Marie Petitclerc plaidait récemment dans nos colonnes pour la reconnaissance de la légitimité du maire comme « chef d'orchestre » des différents intervenants auprès des jeunes en difficulté (1). Stéphane Maggi, chef de service éducatif en prévention spécialisée dans une association francilienne, et Laurent Ott, éducateur et enseignant, membre du groupe Claris (2), réfutent certains de ses arguments.
Stéphane Maggi Chef de service éducatif en prévention spécialisée dans une association francilienne « Le texte de Jean-Marie Petitclerc m'a surpris par le parti pris qu'il développe dans le seul but politique de démontrer tout ce que la prévention spécialisée aurait à gagner à la municipalisation.En premier lieu, et sur un plan général, ce texte n'est entendable que si l'on considère la prévention spécialisée comme - et uniquement comme - un outil de la politique de la ville. Pour ma part, la prévention spécialisée que je défends est encore du côté de l'éducatif et de la protection de l'enfance. Elle a été créée et existe parce qu'elle prévient les souffrances…
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