Publié le : Dernière Mise à jour : 01.08.2017Lecture : 1 min.
« Nous avons déposé 24 dossiers de demande d'aide urgente à la caisse nationale d'assurance vieillesse et quatre à la caisse nationale des allocations familiales. Mais aujourd'hui, ce sont environ 10 % de nos associations (soit plus d'une centaine) qui se trouvent dans une situation financière critique », alerte de nouveau André Flageul, président de l'Union nationale des associations de soins et services à domicile (Unassad) (1). « Plusieurs d'entre elles, et non des moindres en termes d'emplois, pourraient être amenées à déposer leur bilan à la fin de l'année. » La faute au « tarif unique » d'heure d'intervention qui « donne la prime aux services qui ne font aucun effort, mais qui plonge dans le déficit ceux qui poussent à la qualification et à la qualité ».Selon l'Unassad, la situation s'améliore avec les conseils généraux, auxquels les projets de budget 2005 sont actuellement soumis dans le cadre de la loi du 2 janvier 2002. Mais la question reste entière avec les caisses de sécurité sociale, qui continuent de financer les aides facultatives selon des tarifs fixes sans lien avec la réalité de la prestation.Même plainte du côté d'Adessa (2) qui demande fermement au gouvernement…
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