Un « correspondant » police ou gendarmerie pour chaque établissement afin de prévenir les actes de violence
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Publié le : Dernière Mise à jour : 31.12.2017Lecture : 2 min.
Le ministre de l'Education nationale, François Fillon, et celui de l'Intérieur, Dominique de Villepin, ont signé le 4 octobre un protocole d'accord pour prévenir les violences à l'école. Le partenariat entre les différents services des deux administrations, annoncé en mars dernier en pleine polémique sur l'installation de « policiers référents » à l'intérieur des établissements scolaires (1), concerne tant la prévention que la lutte contre toutes les violences (racket, toxicomanie, incivilités, actes racistes ou sexistes...).Afin de « créer les liens permettant de prévenir les situations de tension et de violence susceptibles de se produire », chaque chef d'établissement aura désormais un correspondant police ou gendarmerie identifié, avec qui il pourra traiter des problèmes de violence à l'école. Ce correspondant sera notamment chargé de proposer l'adaptation du service de la police ou de la gendarmerie à la situation locale, adaptation qui pourra porter sur la mise en place de surveillances et d'opérations de contrôle visant, en particulier, la consommation et le trafic de stupéfiants, le racket aux abords des établissements, dans les transports scolaires ou même, avec l'accord…
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