Développer l'aide à la personne : oui, mais avec des emplois qualifiés et durables
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Publié le : Dernière Mise à jour : 03.08.2017Lecture : 2 min.
Un « coup de pouce » qui sera le bienvenu, pour l'ADMR (l'Association du service à domicile). Une heureuse surprise pour l'Union nationale des associations de soins et services à domicile (Unassad) : voilà un ministre qui s'intéresse au développement des services à la personne (voir ce numéro), et qui semble le faire « avec une vraie conviction », selon son directeur général, Emmanuel Verny.Contactées il y a moins d'un mois par le cabinet de Jean-Louis Borloo, les deux fédérations n'en sont encore qu'aux contacts bilatéraux, avant la réunion d'un groupe de travail qui devrait avoir lieu dans la semaine du 4 au 8 octobre. « Echaudé par la grande concertation post-canicule, la montagne ayant accouché d'une souris, du moins pour l'aide à domicile », Emmanuel Verny accorde cette fois du crédit, au risque « d'être naïf », à deux souhaits exprimés par le ministre. D'abord à son souci de partir de l'existant. C'est-à-dire, notamment, du secteur associatif, très présent dans l'aide à domicile. Et de ne pas créer des « petits boulots » ni de générer des « travailleurs pauvres ».Une volonté qui rejoint évidemment celle des associations. L'ADMR est prête à s'engager dans le cadre du plan,…
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