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Traitements de substitution : rattraper le retard pour les publics précaires

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Créer au moins un centre spécialisé de soins aux toxicomanes (CSST) dans les départements qui n'en disposent pas encore et rendre effective partout leur mission d'accès aux traitements de substitution, développer des dispositifs spécifiques pour les populations précarisées. Telles sont quelques-unes des recommandations - rendues publiques le 7 septembre -issues de la conférence de consensus qui, les 23 et 24 juin, a réuni à Lyon les professionnels de l'addictologie pour réfléchir à la place des traitements de substitution dans les soins aux toxicomanes (1). A la même période, une « plate- forme des usagers de la substitution », émanant de leurs premiers états généraux, avait également revendiqué un élargissement de l'accès aux traitements.La stratégie thérapeutique de substitution, constatent les experts, atteint globalement ses objectifs en matière de prise en charge médico-sociale et de prévention des risques. Le nombre de décès par overdose a été divisé par plus de cinq entre 1994 et 2002, le taux d'infection par le virus du sida a fortement diminué et l'accès au traitement de l'hépatite C s'est amélioré. La moitié des patients connaît une meilleure situation sociale, à la fois…
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