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La voie innovante et malaisée de l'économie sociale

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Proposer des modes de garde plus adaptés aux évolutions actuelles du travail, intégrer les parents à l'élaboration des dispositifs, développer le lien social... Les acteurs de l'économie sociale et solidaire cherchent de nouvelles réponses pour l'accueil du jeune enfant. Mais la démarche repose sur un véritable engagement de ses promoteurs.
« Demain, nous aurons autant besoin d'entrepreneurs de sens que nous avons eu hier besoin d'entrepreneurs économiques. Dans le domaine de la petite enfance, on n'a pas uniquement besoin de prestations de services, mais aussi de communication, d'échanges et de mettre du lien entre les parents », expliquait l'économiste Henri Noguès, lors de la journée des chambres régionales de l'économie sociale (CRES) de Bretagne, des Pays-de-la-Loire et de Poitou-Charentes, consacrée à l'accueil du jeune enfant (1). Augmentation des familles monoparentales, développement du travail féminin, accroissement de la flexibilité et des inégalités liées aux horaires ou aux déplacements..., pour Catherine Coutelle, vice-présidente de la communauté d'agglomération de Poitiers, les modes de garde traditionnels ne peuvent…
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