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La proposition de loi sur l'accompagnement de la fin de vie reçoit l'aval du gouvernement

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La mission parlementaire d'information sur l'accompagnement de la fin de vie, emmenée par le député UMP des Alpes- Maritimes Jean Leonetti, et créée au lendemain de l'affaire Humbert, a été entendue (1). Philippe Douste-Blazy a confirmé, lors d'une visite à Antibes, fief de ce parlementaire, et dans un entretien publié le 27 août dans le quotidien Le Figaro, la présentation d'ici à la fin de l'année devant l'Assemblée nationale, de la proposition de loi élaborée par cette mission, à laquelle il adhère. Reste au président de l'Assemblée, Jean-Louis Debré, à dégager une niche parlementaire pour examiner ce texte.Pour le ministre de la Santé et de la Protection sociale, il s'agit de mettre fin à une « hypocrisie[...] inacceptable », « 150 000 machines par an [étant] débranchées par décision du corps médical, sans aucun cadre formel. Il est donc indispensable de clarifier la loi. » Concrètement, le ministre refuse l'euthanasie, car « cela remettrait en cause l'interdit du droit de tuer » et plaide pour que la loi permette «  de proposer à un malade, quand l'irréversibilité de sa maladie est certaine, le choix entre une cure de chimiothérapie de plus ou les soins palliatifs et la pompe…
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