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Directeurs sous haute surveillance

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Avec la loi du 2 janvier 2002,  qui a conféré de nouveaux droits aux usagers et de nouvelles prérogatives aux instances de contrôle et de tarification, des responsabilités plus pesantes reposent désormais sur les épaules des directeurs, souligne Habib Benchehda, directeur d'une association gestionnaire de centres d'hébergement et de réinsertion sociale. Et des tensions avec les conseils d'administration viennent parfois accroître encore leur vulnérabilité.
« En juin 2000, un directeur du secteur médico- social publiait dans la revue Direction Cafdes de l'Ecole nationale de la santé publique (ENSP) une note, à la fois ironique et désabusée, sur l'itinéraire accidenté et tragique du directeur d'un établissement qualifié d'“entreprise tous risques”. Evoquant la pression du cadre légal et réglementaire, l'auteur de l'article revenait sur l'étendue des responsabilités en découlant. Partagé entre, d'une part, une politique favorisant l'éveil, le développement, l'autonomie des usagers et, d'autre part, des règles devant garantir la qualité et la sécurité des activités, le directeur se métamorphosait en stakhanoviste insomniaque de la…
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