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« Le travail social ne se définit pas par défaut »

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Nicole Maestracci, magistrate, ancienne présidente de la mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie, a succédé à Jean-Marie Rabo à la présidence de la Fédération nationale des associations d'accueil et de réinsertion sociale (FNARS)   (1). Premiers commentaires sur le projet fédéral, adopté pour cinq ans lors du congrès des 17 et 18 juin.
Quel regard portez-vous sur les politiques publiques d'insertion ? Je m'y suis intéressée dès mon entrée dans la magistrature : j'ai été juge des enfants, juge de l'application des peines, et j'ai développé les relations entre les associations d'insertion et l'administration pénitentiaire (2). C'est à cette occasion que j'ai rencontré la FNARS, en 1984. J'ai appris de cette expérience que la superposition des dispositifs rendait les choses difficilement lisibles, à la fois pour les personnes concernées et pour les professionnels, et qu'elle laissait sur le bord de la route de nombreuses personnes. Nous demandons donc une simplification, qui pourrait notamment être obtenue avec la création du contrat unique d'insertion. Nous demandons…
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