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Le CSTS entend faire valoir son rôle d'expertise et de veille sociale

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C'est finalement sans Nelly Olin, ministre déléguée à la lutte contre la précarité et l'exclusion, sans même un membre de son cabinet pour la représenter- tous deux s'étant finalement excusés -, que le Conseil supérieur du travail social (CSTS) s'est réuni en assemblée plénière le 18 juin. A quelques jours de la présentation par Jean-Louis Borloo de son plan de cohésion sociale, cette absence est révélatrice du peu d'intérêt que le gouvernement - et les gouvernements en général - accordent à cette instance présidée par le ministre en charge des affaires sociales. Instance qui, avec la mise en place de la Commission professionnelle consultative du travail social et de l'intervention sociale (CPC)   (1) et le prochain transfert du dispositif de formation initiale des travailleurs sociaux aux régions, pourrait bien, de surcroît, n'être plus qu'un organisme résiduel et purement formel.C'est pourquoi ses membres, qui se sont déjà mobilisés pour défendre les valeurs du travail social à propos de l'avant-projet de loi Sarkozy (2), ont engagé une réflexion pour préciser combien l'institution gardait son utilité dans le contexte politique et organisationnel actuel. Dans le document intitulé…
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