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La famille reste le principal soutien des personnes handicapées psychiques

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L'accompagnement social des personnes handicapées psychiques est assuré avant tout par leur famille, bien loin devant les soignants, les clubs ou les établissements. C'est du moins ce qui ressort d'une grande enquête menée auprès de ses adhérents par l'Union nationale des amis et familles de malades psychiques (Unafam)   (1), qui a recueilli plus de 4 600 réponses. Ce public particulier explique « que le rôle des familles se trouve valorisé », nuance Jean Canneva, le président de l'association, qui estime néanmoins le résultat significatif d'une population plus large.Plus précisément, l'étude fait ressortir que 81 % des handicapés psychiques sont aidés par leurs parents, 17 % par leur fratrie, 5 % par leur conjoint et 5 % par un autre proche (2). 27% sont également accompagnés par des soignants, 12 % par l'établissement dans lequel ils vivent, 5 % bénéficient d'une aide à domicile, 17 % se sentent soutenus en fréquentant un club, 20 % en rencontrant d'autres personnes concernées, tandis que 11 % bénéficient d'un autre type d'accompagnement. Une réalité qu'il faut apprécier en sachant que 99 % des personnes malades concernées ont plus de 16 ans et 88 % plus de 25 ans. Il s'agit donc…
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