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Des propositions pour prévenir les mutilations sexuelles féminines

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« La conjugaison de la répression et de la prévention [...] a considérablement réduit la pratique de l'excision en France. Les jeunes filles [immigrées de pays à risques] nées dans les années 80-85 sont en général excisées, moins fréquemment leurs jeunes sœurs. » Ce bilan encourageant est dressé par la Commission nationale consultative des droits de l'Homme (CNCDH) qui s'est autosaisie de la question des mutilations sexuelles féminines en France, 16 ans après avoir émis un premier avis sur la question. Rappelant que les régions les plus concernées sont l'Ile-de-France, la Normandie, le Nord-Pas-de-Calais et la Provence-Alpes-Côte-d'Azur, elle formule une série de propositions pour améliorer la protection des jeunes filles (1).Bon nombre concernent la formation des personnels en contact avec les populations migrantes, qui ont un devoir de prévention et de signalement, au premier rang desquels les médecins et les infirmiers de la protection maternelle et infantile, les enseignants, les personnels de santé scolaire et les assistants sociaux de l'Education nationale, les personnels des services sociaux, les brigades des mineurs de la police et les juges aux affaires familiales, les structures…
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