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Lever les obstacles à la libre circulation des salariés des nouveaux Etats membres

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Le Réseau d'information des citoyens (ECAS)   (1) demande la fin, le plus rapidement possible, des mesures limitant la libre circulation des travailleurs et des chômeurs entre l'est et l'ouest de l'Europe. Selon les traités d'adhésion entrés en vigueur le 1er mai (2) et afin de préserver les marchés de l'emploi, chaque Etat membre est libre, en effet, d'imposer des mesures transitoires restrictives pour les salariés ressortissants des nouveaux Etats membres durant deux à cinq ans, cette période pouvant être prolongée de deux ans.De telles mesures, estime Tony Venables, directeur d'ECAS, sont « un véritable virus qui peut miner le marché unique à moins que l'élément contagieux soit stoppé maintenant ». En effet, selon l'organisation, la quasi-totalité des Etats (à l'exception du Royaume-Uni et de l'Irlande) ont annoncé vouloir utiliser cette option selon des modalités différentes. Le gouvernement français a prévu ainsi de n'ouvrir les secteurs à forte pénurie de main-d'œuvre qu'en 2006 et de maintenir durant cinq ans une « possibilité très restreinte » de circulation pour les demandeurs d'emploi (3). A titre de rétorsion, la Pologne, la République tchèque et la Hongrie ont déjà annoncé…
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