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Aide à domicile : les « effets pervers » de l'accord sur les emplois et les salaires

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L'accord du 29 mars 2002 sur les emplois et les rémunérations de la branche de l'aide à domicile (1) a manqué de pragmatisme en imposant des exigences de qualification outrepassant les possibilités actuelles des prestataires. C'est l'avis de Bernard Jambois, président de l'Association départementale d'aide aux personnes âgées (ADAPA) de Meurthe-et-Moselle (2). Une association qui, adhérente de l'Union nationale des associations de soins et services à domicile  (Unassad), signataire du texte, applique l'accord, tout en le désapprouvant.
« [...] La qualification des intervenants, fondée uniquement sur les diplômes, telle qu'elle est définie dans cet accord, ne nous satisfait pas. On peut d'ailleurs sourire en constatant que cet accord, qualifié d'“historique” par certains syndicats d'employeurs, n'est toujours pas, dix mois après son entrée en vigueur, strictement appliqué dans sa partie relative à la définition des emplois. Pour la simple raison que de nombreuses structures n'ont pas encore suffisamment de personnels, selon les normes fixées par l'accord (3),…
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