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Le mal-vivre des allocataires de minima sociaux

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Comment vit-on avec un minimum social ? Pour le savoir, la direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques du ministère de l'Emploi, du Travail et de la Cohésion sociale a réalisé, au premier trimestre 2003, une enquête auprès de 5 000 personnes qui étaient bénéficiaires du revenu minimum d'insertion  (RMI), de l'allocation de solidarité spécifique  (ASS), de l'allocation de parent isolé  (API) ou de l'allocation aux adultes handicapés  (AAH) en décembre 2001 (1).Près des trois quarts d'entre eux sont toujours allocataires du minimum social qu'ils percevaient à l'époque. Ceux qui ont quitté le dispositif ont repris un emploi, basculé sur une autre prestation ou simplement changé de situation familiale. Qu'ils soient ou non sortis du système d'allocation, quelles sont leurs conditions de vie ? Les personnes sont le plus souvent locataires dans le parc de l'habitat social. Marginal pour les autres allocataires, l'hébergement collectif, avec ou sans participation financière, concerne près d'un adulte handicapé sur dix. S'ils disposent généralement de l'équipement sanitaire de base, les titulaires de minima sociaux se plaignent de l'exiguïté de leur logement…
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