La cohésion sociale doit rester au centre des préoccupations, rappelle le sommet de Bruxelles
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Publié le : Dernière Mise à jour : 12.07.2017Lecture : 1 min.
Les 25 chefs d'Etat et de gouvernement réunis en sommet à Bruxelles les 25 et 26 mars n'ont pu que constater le « bilan mitigé » de la stratégie, alliant réformes économiques et sociales, décidée à Lisbonne il y a quatre ans (1). Un groupe de haut niveau va donc être constitué pour proposer des solutions. Sous la houlette de Wim Kok, ancien Premier ministre néerlandais, il présentera son rapport à la Commission européenne pour le 1er novembre 2004. Rendez-vous est pris au prochain conseil de printemps, en mars 2005, pour décider des mesures.Auparavant, tirant les conclusions de ce sommet, la présidence irlandaise a tenu à rappeler que « la cohésion sociale doit être au centre des préoccupations ». Il y a lieu de « renforcer les stratégies qui ont une incidence décisive sur l'exclusion sociale et l'éradication de la pauvreté », a-t-elle affirmé. Dans cette optique, « la modernisation des systèmes de protection sociale, notamment de retraite et de santé, et l'intégration dans l'ensemble des politiques du programme d'inclusion sociale jouent un rôle capital », estime-t-elle. Le problème auquel il est le plus urgent de s'atteler au cours de l'année prochaine, est-il mentionné, est «…
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