Publié le : Dernière Mise à jour : 26.07.2017Lecture : 7 min.
Fondée sur le travail commun de partenaires institutionnels ou associatifs très divers, la veille éducative intéresse, au fil des mois, de plus en plus d'acteurs locaux. Mais cette démarche de prévention des ruptures scolaires et éducatives souffre encore de certaines fragilités.
Leur démarrage a été modeste. En 2002, année de lancement véritable des cellules de veille éducative, elles n'étaient qu'une trentaine de villes à avoir choisi de les mettre en œuvre au plan local. Aujourd'hui, le dispositif monte progressivement en puissance. Plus de 60 municipalités en France, et bientôt 70, ont élaboré un projet en ce sens. Le concept, assez novateur, semble bien répondre à une attente du terrain.C'est en tout cas ce qu'indiquent les études qui, réalisées pour le compte de la délégation interministérielle à la ville (DIV), entre octobre et novembre 2003, dans une dizaine de sites (1), apportent quelques premiers éléments de bilan (2), malgré le peu de recul. Elles mettent en évidence, selon la DIV, « un très grand intérêt et une mobilisation de plus en plus forte des acteurs locaux, concourant ou non à l'éducation et à la prévention, pour…
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