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Faut-il se résigner à l'impasse ?

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Alors que les indicateurs de la précarité sont à la hausse et que les conditions pour accéder à une insertion durable se durcissent, le débat sur les limites de l'urgence sociale est relancé. Même si le problème n'est pas nouveau, les acteurs de terrain doivent plus que jamais compter sur leur imagination pour surmonter leur sentiment d'impuissance.
Budgets rognés pour l'insertion par l'activité économique, désengagement de l'Etat du revenu minimum d'insertion (RMI) alors que les chômeurs voient leur durée d'indemnisation amputée, crédits consacrés au logement largement grevés... Bon nombre de mesures législatives et budgétaires prises ces derniers mois inquiètent les professionnels de l'action sociale. A la veille de l'hiver, la secrétaire d'Etat à la lutte contre la précarité et l'exclusion, Dominique Versini, a bien obtenu 145 millions d'euros supplémentaires pour la lutte contre l'exclusion, dont la majorité a été mise au pot de l'urgence sociale (1). Ce qui cependant ne peut suffire à compenser le peu d'efforts consenti pour des actions durables d'insertion. A quoi servent, notamment, les missions d'urgence sans aucune place supplémentaire…
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