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Faut-il fusionner classes-relais et ateliers-relais ?

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« En dehors du changement de partenariat et de l'attribution de moyens par le recteur, l es différences réelles de l'économie du projet entre classes-relais et ateliers-relais apparaissent assez minces. » Tel est le constat dressé par l'inspection générale de l'éducation nationale et l'inspection générale de l'administration de l'éducation nationale et de la recherche, dans un rapport remis à Luc Ferry et Xavier Darcos sur les dispositifs-relais et l'Ecole ouverte (1). Il est vrai que les différences dans les textes sont assez réduites. Les classes-relais, qui reposent sur un partenariat avec la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ), s'adressent aux élèves de collège, « en rejet de l'institution scolaire, s'exprimant soit par des manifestations comportementales, soit par des attitudes d'extrême passivité, de repli et d'auto-dépréciation systématique et un refus de tout investissement réel et durable, mais qui ne relèvent pas pour autant d'un enseignement adapté ou spécialisé ». De leur côté, les ateliers-relais visent le même public, éventuellement des lycéens, et reposent sur un partenariat avec des associations d'éducation populaire (2). Une autre différence tient à la durée…
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