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La détresse autour du mal-logement gagne les intervenants sociaux et les élus

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Si «  l'affaiblissement de la production de logements sociaux n'est pas récent, ce qui est nouveau c'est la réduction de l'ambition politique... » Alors que deux projets de loi (sur l'accession à la propriété de Gilles de Robien et sur les responsabilités locales) et la loi Borloo pour la rénovation urbaine donnent de nouvelles perspectives pour le logement, le rapport 2004 de la Fondation Abbé-Pierre, rendu public le 28 janvier, met une nouvelle fois en cause la responsabilité de l'Etat dans la mise en œuvre du droit au logement (1). Des besoins en augmentation La sonnette d'alarme a déjà été tirée ces derniers mois par les organismes HLM et les associations, et plus récemment par le Conseil économique et social (2) et le Conseil national des villes (voir ce numéro)  : la production de logements sociaux ne progresse que de 3 % pour atteindre un peu plus de 57 000 alors que, selon les associations, il en faudrait au moins le double. « La politique en faveur du logement des défavorisés est à l'abandon. » Pour preuve, rappelle la Fondation Abbé- Pierre, la réduction de l'aide à la médiation locative, des aides personnelles au logement et des moyens consacrés à l'allocation de logement…
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