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Prostitution : un rapport pointe les difficultés de l'action associative à Paris

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La loi pour la sécurité intérieure, qui fait du « racolage passif » un délit tout en s'attaquant au proxénétisme (1), « parvient non pas à l'abolition des conditions esclavagistes de l'exercice de la prostitution dans les faits, mais à son abolition statistique ». Le rapport sur la prostitution dans la capitale (2) remis fin novembre à Christophe Caresche, député de Paris et adjoint au maire chargé de la prévention et de la sécurité, vient contredire le satisfecit de Nicolas Sarkozy. Le ministre de l'Intérieur annonçait, le 7 janvier, une baisse de 40 % de la prostitution à Paris, où se concentrent de 7 000 à 8 000 des personnes prostituées sur les 20 000 à 25 000 estimées en France.Le rapport, réalisé sous la direction de Marie-Elisabeth Handman, maître de conférences à l'Ecole des hautes études en sciences sociales, et Janine Mossuz- Lavau, directrice de recherche au CNRS, explique que certaines prostituées ne font qu'éviter les « horaires policiers », en ne sortant que très tard la nuit, et quittent les grands boulevards pour s'installer dans les petites rues. Cette plus grande discrétion complique le travail des associations qui ont plus de mal à entrer en contact avec elles :…
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