Publié le : Dernière Mise à jour : 26.07.2017Lecture : 2 min.
Selon le ministère du Logement, « l'importance du rythme d'augmentation des dépenses d'ALT est incompatible avec les contraintes budgétaires actuelles ». Une circulaire vient donc mettre en place un dispositif de programmation, entré en vigueur depuis le 1er janvier 2004. Un texte qui a, d'ores et déjà, provoqué des remous dans le monde associatif (voir ce numéro).Pour mémoire, l'aide aux organismes logeant à titre temporaire des personnes défavorisées (ALT) est versée aux associations œuvrant à l'insertion par le logement, ainsi qu'aux centres communaux d'action sociale, afin de leur permettre de mieux répondre aux besoins en hébergement des personnes en difficulté qui, ne disposant pas d'un logement à titre permanent, sont exclues du bénéfice des aides personnelles au logement ou ne peuvent être hébergées dans un centre d'hébergement et de réinsertion sociale. Les préfets signent avec les organismes concernés une convention - ou un avenant à la convention existante - fixant, pour chaque année civile, mois par mois, la capacité d'hébergement envisagée, en nombre et en types de logements, et le montant prévisionnel de l'aide qui en résulte (1). Jusqu'à présent, le volume des prestations…
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