Recevoir la newsletter

Aide à domicile : une réponse ministérielle « bien intéressante »...

Article réservé aux abonnés

Comment les associations de maintien à domicile pourront-elles appliquer l'accord sur les emplois et les rémunérations du 29 mars 2002 si les financeurs n'augmentent pas leurs tarifs pour compenser les charges qu'il entraîne ? A cette question, posée le 8 septembre dernier par Gérard Bapt, député PS de la Haute- Garonne, le ministre des Affaires sociales a fait une réponse écrite (1) que Florence Leduc, directrice générale adjointe de l'Union nationale des associations de soins et services à domicile  (Unassad), juge « bien intéressante ». Selon François Fillon, pas de problème. « Les départements prennent à leur charge la part de financement qui leur incombe, l'accord leur étant opposable. » Opposable ? Selon Florence Leduc, « cela n'avait jamais été écrit aussi clairement ». Pour Pierre Debons, responsable du développement à l'Union nationale ADMR (Association du service à domicile), l'affirmation n'a rien de nouveau, « mais elle est toujours bonne à rappeler, surtout sous la plume d'un ministre ». D'autant que, depuis juillet dernier, « un tiers des départements ne se sont pas sentis obligés de réviser leur tarif et raisonnent à enveloppes fermées, en diminuant le nombre d'heures…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

LE SOCIAL EN ACTION

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur