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« Ancrer plus fortement les mesures socio-judiciaires dans le paysage pénal »

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En plein débat sur la place de la sanction dans la politique pénale, la fédération Citoyens et justice (1) lance, en concertation avec les pouvoirs publics, une mission d'évaluation des mesures socio-judiciaires, alternatives à la poursuite ou à la détention. Les enjeux de cette démarche avec Patrick Martin, directeur de l'Association d'action éducative de Loire-Atlantique et responsable de la commission « évaluation » de la fédération.
Pourquoi engager une démarche d'évaluation des mesures socio-judiciaires ? Les premières mesures ont été lancées dans les années 80 par Robert Badinter, alors garde des Sceaux, puis enrichies pour répondre à trois objectifs : imaginer une voie autre que le traitement judiciaire traditionnel et le classement sans suite, prendre en compte la victime dans la recherche du sens de la peine et individualiser les réponses pour prévenir la récidive. L'évaluation se justifie d'un point de vue déontologique pour conforter l'utilité de notre travail et analyser ses limites, mais aussi du point de vue des justiciables, qu'ils soient victimes ou mis en cause, pour qui il est très…
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