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Comment mieux répondre à la souffrance psychique des exclus ?

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« Force est de constater l'extrême désarroi des acteurs sociaux et sanitaires face à la souffrance psychique qui gêne l'action des uns, qui apparaît comme étrangère au noyau dur des objectifs et des missions de la psychiatrie. » Telles sont les conclusions du groupe de travail sur la souffrance psychique et l'exclusion sociale, piloté par le psychiatre Philippe Jean Parquet, dans le rapport qu'il a remis à Dominique Versini, le 21 octobre. Celle-ci l'avait, en effet, chargé de réfléchir, conformément aux objectifs fixés dans le plan de lutte contre les exclusions (1), à une meilleure prise en compte de ce phénomène qui freine, voire empêche, la réinsertion des personnes en difficulté. Un document qui s'inscrit ainsi dans la continuité des travaux déjà menés sur le thème et qui ont mis en avant la nécessaire coopération entre la psychiatrie et le secteur médico-social (2).Après s'être attaché à définir et à conceptualiser ce qu'est la souffrance psychique- préalable aux réponses à lui apporter - , le rapport formule six recommandations pour améliorer sa prise en charge. La première est de mettre en place un « réseau santé mentale-précarité (RSMP)  » qui s'intégrerait dans les dispositifs…
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