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L'aide aux personnes prostituées : un « savant » bricolage budgétaire

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Les crédits affectés au travail social avec les personnes prostituées ont été particulièrement affectés par les coupes budgétaires. Entre gel, puis dégels partiels et jeux de tuyauteries financières, les associations tentent, difficilement, de faire leur métier. Une situation dénoncée par Stéphane Hamon, directeur du service d'action éducative vers l'insertion (SAEVI) de la section parisienne de l'Association nationale d'entraide féminine  (ANEF)   (1).
Avec quatre associations parisiennes, vous aviez dénoncé « l'asphyxie des services sociaux » auprès des personnes prostituées en juin dernier (2). Où en est-on ? Ce collectif, qui réunit l'Amicale du Nid, Altaïr, l'ANEF, l'Association nationale de réadaptation sociale (ANRS), Aux captifs la libération, existe depuis un an et demi. Face à nos nombreux déboires liés aux retards de trésorerie et à une ligne budgétaire - 6 millions d'euros - qui n'a pas bougé depuis 2001 malgré l'augmentation de nos charges, nous avons décidé de réagir ensemble. Cette année, la situation est particulièrement grave. Un premier gel de nos subventions est intervenu en début…
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