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Les associations demandent une politique cohérente à l'égard des drogues

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Rien ne filtre, semble-t-il, des discus- sions qui entourent la réforme de la loi du 31 décembre 1970 relative aux toxicomanies. Tout juste, le Premier ministre, Jean-Pierre Raffarin, s'est-il engagé le 21 septembre, au cours d'une émission sur M6, « à réformer la loi », qui punit l'usage simple de stupéfiants d'un an d'emprisonnement et de 3 750  € d'amende, déclarant qu'une simple contravention pourrait sanctionner la consommation de cannabis. Entre les propositions du ministère de l'Intérieur, partisan d'une contravention de 5e classe (qui peut atteindre 1 500  €) et celui de la Santé, favorable à une sanction plus légère, il s'est prononcé pour une gradation des peines et il a annoncé une grande campagne de prévention pour informer les jeunes sur les dangers du cannabis. Si les arbitrages sur cette réforme sont à l'évidence complexes, opposant logique répressive et logique sanitaire, ils sont menés dans une extrême discrétion. Aucun calendrier n' a été, à ce jour, annoncé. De plus, le gouvernement semble peu désireux de rendre public le rapport que lui a remis, il y a une dizaine de jours, la mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie qui avait été…
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