Recevoir la newsletter

Le droit à réversion des veuves des anciens combattants des « ex-colonies »

Article réservé aux abonnés

Le Conseil d'Etat a jugé, le 30 juillet, qu'une veuve d'ancien combattant ayant perdu la nationalité française pouvait bénéficier d'une pension de réversion même si, en cours d'instance, elle avait été déboutée d'une telle demande.Pour mémoire, au moment de l'accession des anciennes colonies à l'indépendance, le législateur avait décidé la transformation des pensions de retraite et de réversion des anciens combattants qui perdaient la nationalité française en indemnités non revalorisables. En novembre 2001 (pour la pension de retraite), puis en février 2002 (pour la pension de réversion), le juge administratif avait estimé que cette législation générait une discrimination injustifiée entre ces anciens combattants et leurs homologues français qui, eux, ont droit à une pension revalorisée (1). Tenant compte de cette jurisprudence, la loi de finances rectificative pour 2002 du 30 décembre 2002 (dite « collectif budgétaire d'automne » ) a simplement prévu un mécanisme particulier de revalorisation des pensions de retraite de ces personnes fondé sur la parité de pouvoir d'achat tenant compte de la situation des Etats concernés par rapport à celle de la France, applicable au 1er janvier…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

LE SOCIAL EN TEXTES

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur