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Reconnaître le travail « invisible »

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D'où vient le sentiment persistant des professionnels des secteurs sanitaire, social et médico-social de ne pas être reconnus à leur juste valeur ? De l'occultation, par les organisations du travail, d'une dimension certes non mesurable mais essentielle de l'exercice de leurs fonctions : leur investissement subjectif, explique la psychologue Marie-France Custos-Lucidi.
« La plainte lancinante du manque de reconnaissance au travail, toujours présente en toile de fond dans la plupart des échanges avec les personnels du secteur sanitaire et social, au point de définir leur identité aux yeux de la hiérarchie et des autres catégories d'agents, est un mal récurrent largement partagé dans le monde du travail. Cependant, plus que dans tout autre secteur, en raison de la nature même du travail, cette plainte, si elle est comprise, [...] peut aider à mettre en lumière une dimension occultée jusque-là par les organisations du travail, je veux parler de l'investissement subjectif (1) et de l'intelligence “rusée” mobilisés par les personnels pour que le travail puisse se faire.En effet, l'objet de travail du personnel des secteurs sanitaire,…
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