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Réforme du DEASS : « maintenir une véritable démarche de recherche »

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L a directrice de l'école de service social de l'IUT Paris-V, Martine Noalhyt défendait récemment dans nos colonnes l' « allégement » du mémoire à l'étude dans le cadre de la prochaine réforme du diplôme d'Etat d'assistant de service social (DEASS)   (1). Cristina De Robertis et Henri Pascal, respectivement directrice de l'IFTS de la Croix-Rouge française du Var et formateur à l'IRTS PACA-Corse (2), d'une part, et, d'autre part, Christophe Voinchet, assistant social à Amiens (3), y sont opposés.
« [...] Selon notre avis,  Madame Noalhyt se trompe d'enjeu [...]. Le mémoire de fin de formation n'est pas, comme elle le prétend, un rite d'initiation. Il a une longue histoire et s'enracine dans l'évolution nationale et internationale de la formation au service social. Le premier diplôme de 1932 prévoyait quatre ans d'études, deux théoriques et deux pratiques et un mémoire de fin de formation soutenu oralement. La fusion en 1938 avec le diplôme d'infirmière visiteuse entraîna une déqualification certaine et la suppression…
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