et favoriser la promotion sociale des jeunes dans les quartiers en difficulté
Article réservé aux abonnés
Publié le : Dernière Mise à jour : 26.07.2017Lecture : 2 min.
Le Haut Conseil à l'intégration (HCI) devait par ailleurs, à la demande de Matignon, « réfléchir aux voies et moyens de nature à favoriser l'intégration civique, sociale et économique, et par delà, la reconnaissance des jeunes issus des quartiers concernés par la politique de la ville ». Il émet, à l'arrivée, un certain nombre de pistes d'orientation. « Une réflexion reste [ainsi] à développer » sur le rôle spécifique de l'Education nationale, « principale force d'intégration ». Elle gagnerait, aux yeux de l'instance, à « redéployer l'enseignement professionnel, technologique, les métiers du commerce et de la culture, et à les relier par le haut à des filières longues ». Pour le Haut Conseil, en effet, « l'école d'aujourd'hui n'est pas en mesure de proposer des parcours professionnels pertinents aux jeunes en difficulté » (1). Il reproche plus particulièrement à l'institution scolaire de ne pas être suffisamment ouverte au monde professionnel. Et plaide par conséquent pour le développement de stages en alternance. Il souscrit à cet égard aux expérimentations actuellement menées par le ministère de l'Education nationale visant à donner la possibilité de formations en alternance…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques