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L'aide aux victimes en panne de moyens

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L'aide aux victimes, représentée par 150 associations (200 000 personnes accueillies en 2002), est en pleine mutation : le plus souvent recommandée par un tiers - procureur de la République, service de police ou travailleur social -elle évolue progressivement vers une prise en charge dans la durée, englobant un suivi psychologique et social, qui devrait de plus en plus dépasser le cadre de l'urgence. C'est, notamment, ce qui ressort de l'état des lieux dressé lors des XIXe assises de l'Institut national des associations d'aide aux victimes et de médiation  (Inavem)   (1), qui se sont tenues les 26 et 27 juin à Paris.Ce travail associatif, dont la reconnaissance est confirmée dans les programmes d'action de Dominique Perben en matière d'aide aux victimes, est toutefois menacé par un manque criant de crédits. « Ma conviction est profonde qu'un effort partagé entre l'Etat et les collectivités territoriales, également sollicitées, devrait enfin, après plus de 20 années d'engagement pour cette cause, permettre à notre réseau de faire face sereinement à cette mission de service public qui est la sienne », a déclaré lors des assises Jacques Calmettes, président de l'Inavem, qui plaide pour…
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