Handicap : les associations attendent toujours un cinquième risque
Article réservé aux abonnés
Publié le : Dernière Mise à jour : 02.08.2017Lecture : 2 min.
Les associations n'ont sans doute rien appris, le 25 juin dernier, lors de la communication en conseil des ministres de Marie-Thérèse Boisseau, secrétaire d'Etat aux personnes handicapées, sur les contours de la réforme de la loi d'orientation de 1975 (1). La plupart avait en effet déjà pris connaissance de la note d'orientation de la loi relative à l'égalité des chances des personnes handicapées (2), transmise le 24 avril au Conseil national consultatif des personnes handicapées (CNCPH).En toute logique, le Comité d'entente des associations représentatives des personnes handicapées et de parents d'enfants handicapés a saisi l'occasion pour réitérer, dans un communiqué du 27 juin, les observations déjà faites par l'instance consultative (3). En insistant néanmoins sur la question cruciale du financement de la compensation. Celui-ci doit relever, selon lui, d'une « logique de protection sociale », passant par la création d'une quatrième branche ou d'un cinquième risque de sécurité sociale. Souhait que réaffirment de leur côté l'Association des paralysés de France (APF) et l'Union nationale des associations de parents et amis de personnes handicapées mentales (Unapei), en soulignant…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques