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Vers la déqualification de la justice des mineurs ?

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Interpellant le secteur associatif, à l'heure de l'ouverture des premiers centres éducatifs fermés associatifs et de la condamnation à un an de prison ferme pour une mère ayant refusé de participer à un « stage parental », Bernard Cavat interroge : « Faut-il participer au simplisme ambiant ou assumer publiquement la complexité ? »
« La loi de programmation et d'orientation sur la justice réformant la justice des mineurs est promulguée dès septembre 2002 ; elle est issue d'une pression gouvernementale sur le législateur en lien direct avec le sentiment d'insécurité cristallisant une véritable confusion du corps social à l'origine de la crise démocratique de l'élection présidentielle de 2002.Nous assistons, ainsi, à une démarche législative “à chaud”, sans aucun recul pédagogique vis-à-vis de l'opinion publique, sans concertation ni éclairage technique des acteurs professionnels concernés (juge des enfants, organisations professionnelles, travailleurs sociaux œuvrant à la protection de l'enfance, etc.) mais, par contre, avec le concours actif et le soutien engagé de certaines fédérations employeurs liés politiquement au…
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