Les préconisations du groupe national d'appui à la mise en œuvre de la nouvelle loi IVG
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Publié le : Dernière Mise à jour : 05.09.2017Lecture : 2 min.
Réduire les délais d'accès à l'interruption volontaire de grossesse (IVG). Faciliter la prise en charge de celles pratiquées les 11e et 12e semaines. Rester attentif au cas particulier posé par les mineures. Et inciter les cliniques privées à prendre davantage d'IVG en charge. Près d'un an et demi après la publication de la loi du 4 juillet 2001 réformant l'interruption volontaire de grossesse (1), telles sont les principales recommandations émises par un groupe de travail composé de médecins, de représentants de l'administration et d'associations (2), dans un rapport qui devrait être rendu public dans les prochains jours (3).Le bilan dressé est globalement plutôt positif, mais plusieurs rencontres avec des professionnels de terrain ont permis au groupe de travail de constater des difficultés persistantes. Il déplore ainsi la présence de « zones d'ombre » sur le territoire, dans lesquelles les délais d'accès à l'IVG sont « aléatoires et parfois très élevés » . Pointés du doigt notamment : la région Rhône-Alpes et l'Ile-de-France, où l'attente est respectivement de quatre et trois semaines. Les auteurs du rapport estiment, à cet égard, « souhaitable » que soient rapidement signés les…
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