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Remous autour de l'AES

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Les nouvelles modalités d'attribution de l'allocation d'éducation spéciale (AES) pour les enfants handicapés, et surtout de ses compléments, provoquent de mauvaises surprises. Une réforme est intervenue en avril 2002 pour remplacer les trois suppléments par six -attribués quand le handicap impose l'aide d'une tierce personne ou oblige les parents à diminuer leur activité professionnelle ou entraîne des dépenses particulièrement coûteuses -, afin de mieux moduler l'aide, « au plus près des besoins »   (1).Si l'allocation de certaines familles s'en trouve améliorée, d'autres, au contraire, ont « perdu au change », y compris parmi celles qui ont un enfant gravement handicapé. D'après une enquête de l'Association des paralysés de France sur 30 départements, ce serait le cas d'une famille sur trois. L'Association départementale des infirmes moteurs cérébraux de Haute-Savoie a beaucoup d'adhérents dans cette situation (2). Cela tient, constate-t-elle, à la moindre valorisation - par rapport à l'emploi rémunéré d'une auxiliaire - du rôle de la tierce personne lorsqu'il est tenu par un proche ou par un membre de la famille, ou même à sa non-reconnaissance quand les parents assurent la charge…
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