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Adolescence meurtrie

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Qu'est-ce qui fait de certains adolescents des « hors-la-loi » de la famille et de l'école qui, en bout de course, ne trouvent plus que l'hôpital psychiatrique ou la prison pour contenir leur violence, quand ils ne recherchent pas la mort par accident ou suicide ? « Les mal-partis, la psychanalyse peut les sauver »  : partageant ce point de vue de Françoise Dolto, la psychanalyste Bertil Laitselart a été conduite à la demande d'un groupe de parents et avec eux, à concevoir une structure d'accueil non médicalisée pour des jeunes qui sont en conflit avec les institutions traditionnelles et ont besoin de rompre avec leur milieu. Ainsi est née en 1981, après un parcours administratif semé d'embûches, l'Ecole expérimentale de Pons (EEP), dans la Charente-Maritime. Etablissement thérapeutique et pédagogique agréé par le ministère de la Santé et tous les régimes d'assurance maladie, l'Ecole de Pons constitue un lieu de vie original où peuvent venir se reconstruire 15 à 20 adolescents de 14 à 21 ans, dont le recrutement est intersectoriel. Les demandes d'admission peuvent provenir de sources diverses - famille mais aussi assistante sociale de secteur, psychiatre exerçant en libéral, institutions…
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