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Les habitants des zones urbaines sensibles victimes d'un « effet quartier », confirme la DIV

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Les écarts se sont creusés dans les années 90 en matière de taux de chômage entre les quartiers classés en zone urbaine sensible (ZUS) et l'ensemble des agglomérations. C'est ce que met en évidence une récente étude de la délégation interministérielle à la ville (1). Ainsi, ce taux est passé de 18,9 % de la population active des ZUS en 1990 à 25,4 % en 1999 (2), tandis que, dans les villes alentour, sa progression est moindre :de 11,5 % à 14,3 %. « Si les taux de chômage sont plus élevés pour les plus jeunes générations dans les ZUS comme ailleurs, en termes d'écarts relatifs, la situation des chômeurs de plus de 40 ans des quartiers en ZUS est des plus préoccupantes  », précise l'auteur, Philippe Choffel : en 1999, la proportion de demandeurs d'emploi parmi les actifs de 40 à 49 ans résidant dans ces quartiers approchait du double de celle des autres citadins du même âge. En 1999 et en 2000, cependant, la baisse du chômage aura été « presque aussi rapide dans les ZUS que dans l'ensemble des villes » . Pour les demandeurs d'emploi recherchant un contrat à durée indéterminée à temps plein et immédiatement disponibles, le recul en deux ans est de près de 24 % dans ces zones, contre…
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