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L'année européenne aidera-t-elle à « changer le regard » sur les personnes handicapées ?

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«   I ci, quand la Cotorep me demandait de remplir mon dossier, je n'étais qu'une suite de “peut pas”. Ne peut pas se laver seule, ne peut pas aller seule aux toilettes... Quand je suis arrivée en Suède, le dossier à remplir posait des questions sur mon projet de vie et mes besoins d'aide. Un point de vue positif qui change tout ! » Ainsi parle Gisèle Caumont, orthophoniste et paraplégique de naissance, qui a carrément choisi d'émigrer à l'âge de la retraite. « Presque gênée » d'évoquer « la liberté » qu'elle connaît désormais dans un pays où l'accessibilité est un principe respecté - et où elle bénéficie de 116 heures d'aide personnelle financées par semaine au lieu des 24 qu'elle avait en France -, elle a néanmoins envie de témoigner « qu'une autre vie est possible ».Rondement mené par des professionnels de la communication, le colloque inaugural de l'année européenne des personnes handicapées en France (1), organisé à Rennes le 3 février, a ainsi juxtaposé quelques exemples personnels percutants (parfois difficiles à généraliser) et des discours ministériels plus convenus. La secrétaire d'Etat aux personnes handicapées, Marie-Thérèse Boisseau, avait pourtant réussi à attirer dans…
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