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Le Conseil national des villes vivement inquiet de la fin des emplois-jeunes et de la baisse des CES et CEC

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La création des « contrats jeunes en entreprise » et la perspective de celle du contrat d'insertion dans la vie sociale (CIVIS) n'y changent rien : le Conseil national des villes (CNV) (1) exprime, dans un avis daté de décembre, « sa plus vive inquiétude » à propos de la disparition des emplois-jeunes et de la réduction des crédits inscrits dans la loi de finances 2003 au titre des contrats emploi-solidarité (CES) et des contrats emploi consolidé (CEC), mesures dont les publics ne correspondent que partiellement aux deux innovations du gouvernement Raffarin.Pour l'organe consultatif de la politique de la ville (2), emplois-jeunes, CES et CEC « ont fait leur preuve », notamment en donnant à des personnes en grande difficulté ou à des jeunes au chômage les moyens d'entrer dans le monde du travail, en permettant « d'expérimenter de nouveaux métiers à l'utilité sociale démontrée » et en donnant l'occasion à de nouvelles populations d'intégrer les administrations locales. « Leur remise en cause est porteuse de risques sérieux », poursuit le CNV, doutant, ralentissement économique oblige, qu'un « relais significatif [soit] pris par le secteur privé pour assurer l'embauche de nombreux jeunes…
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