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Déstabilisés face à l'intrication des difficultés des personnes qu'ils ont à accompagner - et à leur traduction parfois violente -, les travailleurs sociaux peuvent être confrontés à la peur. Peur des risques d'agression et peur aussi de ne pas réussir à établir avec les usagers la relation et le dialogue nécessaires pour que, de part et d'autre, les interlocuteurs parviennent à contrôler leur agressivité.
De cette peur partagée, on parle peu dans le social- même s'il arrive de la convoquer pour expliquer les problèmes de recrutement que connaît actuellement le secteur. Pourtant, à condition d'oser la mise en questions et la confrontation, il est possible de « travailler la peur » - la sienne et celle qu'éprouvent les usagers -, estime Marcel Jaeger, directeur de Buc Ressources, centre de formation en éducation spécialisée et accompagnement social (1).Le «  doute de soi » Expérience complexe au cours de laquelle un individu (ou un groupe) juge, avec ou sans raison, ne pas disposer des moyens adéquats pour faire face à une situation donnée, la peur naît lorsqu'on présuppose que ce qui peut arriver est imprévisible et qu'on ne peut donc…
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